Pleurnicheurs, crieurs, lamenteurs pleureurs
Ni leur vie, ni leur air, ni leur sol ne sourient
Et de leurs maitres ils ont toujours peur
Contents de retrouver leur monde pourri
Aux cuisses de leurs femmes s’arrête leur honneur
Les flammes dévorent leurs frères meurtris
Et tout ce qu’ils font c’est crier leur horreur
Regardant de loin, impuissant mais pis
Porter sur un ennemi leur immense rancœur
Sans que leur rage ne dépasse leurs cris
Saturday, January 17, 2009
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3 comments:
C pourtant vrai :)
Très familier..
comme de la lave ds un creuset de pierre froide
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